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Le chemin de l'espérance / Stéphane Hessel
Titre : Le chemin de l'espérance Type de document : texte imprimé Auteurs : Stéphane Hessel, Auteur ; Edgar Morin, Auteur Editeur : Paris [France] : A. Fayard Année de publication : impr. 2011 Importance : 1 vol. (60 p.) Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-213-66621-1 Prix : 5 EUR Langues : Français (fre) Catégories : Participation politique
Résistance politiqueIndex. décimale : 320 Politique (généralités) - Théories politiques Résumé : "Notre propos est de dénoncer le cours pervers d'une politique aveugle qui nous conduit aux désastres. Il est d'énoncer une voie politique de salut public. Il est d'annoncer une nouvelle espérance..." (4e de couv.) Permalink : http://catalogue.iessid.be/index.php?lvl=notice_display&id=19232 Le chemin de l'espérance [texte imprimé] / Stéphane Hessel, Auteur ; Edgar Morin, Auteur . - Paris (France) : A. Fayard, impr. 2011 . - 1 vol. (60 p.) ; 19 cm.
ISBN : 978-2-213-66621-1 : 5 EUR
Langues : Français (fre)
Catégories : Participation politique
Résistance politiqueIndex. décimale : 320 Politique (généralités) - Théories politiques Résumé : "Notre propos est de dénoncer le cours pervers d'une politique aveugle qui nous conduit aux désastres. Il est d'énoncer une voie politique de salut public. Il est d'annoncer une nouvelle espérance..." (4e de couv.) Permalink : http://catalogue.iessid.be/index.php?lvl=notice_display&id=19232 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 0243042 320 HES C Livre Bibliothèque IESSID Livres Disponible Christiania ou les enfants de l'utopie : portraits au coeur d'une utopie devenue réalité / Laurène Champalle
Titre : Christiania ou les enfants de l'utopie : portraits au coeur d'une utopie devenue réalité Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurène Champalle, Auteur ; Peter Fallesen, Photographe Editeur : Paris [France] : Intervalles Année de publication : impr. 2011 Importance : 1 vol. (184 p.) Présentation : ill., couv. ill. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-916355-60-3 Prix : 18 EUR Note générale : Notes bibliogr. Langues : Français (fre) Catégories : Christiania (Copenhague, Danemark)
Communautés ** Danemark ** Copenhague (Danemark) ** 1970-....** Récits personnels
Modes de vie alternatifs ** Danemark ** Copenhague ** 1970-....** Récits personnelsIndex. décimale : 320 Politique (généralités) - Théories politiques Résumé : Christiania a été fondée en 1971 au cœur de Copenhague sur une friche militaire de 34 hectares. Héritage du mouvement peace and love, la « ville libre » autoproclamée reste de nos jours un quartier mythique où flotte un drôle de drapeau et un parfum de liberté. Si aujourd’hui l’on ne s’y promène plus nu avec des fleurs dans les cheveux, Christiania demeure un immense squat urbain où près de mille personnes, dont deux cents enfants, expérimentent l’autogestion et la démocratie directe, et où le haschich et le cannabis sont en vente libre.
"Qu’est-ce que Christiania ? Dix-sept Christianites ont ouvert leur porte et accepté de raconter leur quotidien à Laurène Champalle.
Christiania est la plus grande expérience de vie alternative au cœur d’une capitale européenne. Christiania est aussi un espoir : l’espoir qu’un autre mode de vie urbain est possible au XXIe siècle. Christiania est un chantier, une expérience en cours, un lieu unique au monde où rien n’est figé, où tout reste à inventer." (4e de couv.)
"Née dans l’anarchie, la ville libre se dote aussi d’un règlement intérieur : les voitures sont bannies de l’enclave au profit des vélos, les armes à feu au profit de l’amour, les drogues dures au profit du haschich et du cannabis. Christiania est un bien collectif : la propriété privée et la spéculation immobilière sont interdites. Nul ne peut louer ou vendre le logement qu’il occupe, car nul ne possède ni logement ni terrain : le site, librement accessible à tous, appartient à l’État danois.
Au ministère de la Défense, plus précisément. La sélection des nouveaux arrivants par les habitants de l’enclave fait également partie des principes fondamentaux de Christiania, car la communauté a besoin de gens impliqués.
Christiania ne peut fonctionner que si un maximum de personnes joue le jeu, en travaillant au sein de ses collectifs et en participant à ses nombreuses assemblées.
Pur produit du mouvement hippie, Christiania est une société égalitaire sans chef ni hiérarchie. Refusant toute ingérence des autorités dans leurs affaires, les Christianites ont fondé leur propre système politique et social sur le principe de l’autogestion et de la démocratie directe. La vie de la communauté est rythmée par des assemblées quasi quotidiennes tenues aux niveaux des quartiers, Christiania étant divisée en 14 quartiers, et des coopératives. Les assemblées sont les seules instances décisionnelles. L’Assemblée générale, convoquée sur les questions d’intérêt général concernant l’ensemble de la communauté, ou pour les arbitrages de conflits non-résolus aux niveaux inférieurs, est la plus haute autorité au sein de la ville libre. Il n’y a pas de police, ni d’institution de contrainte, ni de vote dans les assemblées de Christiania : après discussion, les décisions sont prises à l’unanimité, quand il semble qu’un consensus a été trouvé.
Près d’un millier de personnes, dont deux cents enfants, vivent aujourd’hui à Christiania. Les Christianites ne paient pas de loyer, mais une cotisation à la Caisse commune, à laquelle il faut ajouter l’eau et l’électricité, la rénovation intérieure et extérieure du logement. Cette cotisation finance, avec la taxe sur les bénéfices des coopératives et des commerces locaux, le « service public » interne de Christiania, assurant le ramassage et le recyclage des ordures, la maintenance des bâtiments, l’entretien du site, le courrier, un jardin d’enfants et une maison des jeunes, un fonds social pour les personnes âgées et les plus modestes, un centre de soins… Ni la Ville, ni l’État ne participent au financement du service public et des infrastructures de Christiania.
Si Christiania s’est construite en alternative à la société, elle n’a pourtant jamais réussi à s’en affranchir. Loin d’être autosuffisante, Christiania dépend largement du monde extérieur : une grande partie des Christianites travaille en dehors de l’enclave. Les autres survivent grâce à l’aide sociale. Les échanges avec l’extérieur sont nombreux, notamment le commerce du haschich et du cannabis : Pusher Street draine chaque jour des centaines de consommateurs.
Après des décennies de social-démocratie et d’un relatif statu quo pour la ville libre, la tolérance à l’égard de Christiania a changé à partir de novembre 2001, à l’arrivée au pouvoir des libéraux-conservateurs, soutenus au Parlement par l’extrême droite. Sous prétexte de rétablir l’ordre dans la zone hors-la-loi, le Premier ministre Anders Fogh Rasmussen, aujourd’hui à la tête de l’OTAN, est parti en croisade contre Christiania, bien déterminé à « normaliser » la ville libre.
« Normaliser », c’est-à-dire liquider le commerce illégal des drogues douces, toléré dans l’enclave du temps des sociaux-démocrates, et raser les constructions sauvages au bord du lac et sur les anciens remparts de la ville, afin de se débarrasser des squatteurs.
Le gouvernement a commencé par démanteler, début 2004, Pusher Street. En vain : le trafic a continué sous le manteau avant de reprendre, à découvert. À l’heure où la pression immobilière fait flamber les loyers de Copenhague, Pusher Street représentait pour l’État le prétexte idéal pour s’attaquer à Christiania et remettre la main sur son précieux terrain de 34 hectares de verdure en plein centre-ville, illégalement occupé depuis 1971. Sans compter que les anciennes casernes taguées de fresques psychédéliques et les cabanes de guingois de la ville libre détonnent dans les quartiers de Christianshavn et de Holmen, fraîchement réhabilités."
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Extraits de Christiana ou les enfants de l'utopie, Éditions Intervalles (septembre 2011)
Permalink : http://catalogue.iessid.be/index.php?lvl=notice_display&id=21100 Christiania ou les enfants de l'utopie : portraits au coeur d'une utopie devenue réalité [texte imprimé] / Laurène Champalle, Auteur ; Peter Fallesen, Photographe . - Paris (2 rue Bleue, 75009, France) : Intervalles, impr. 2011 . - 1 vol. (184 p.) : ill., couv. ill. ; 22 cm.
ISBN : 978-2-916355-60-3 : 18 EUR
Notes bibliogr.
Langues : Français (fre)
Catégories : Christiania (Copenhague, Danemark)
Communautés ** Danemark ** Copenhague (Danemark) ** 1970-....** Récits personnels
Modes de vie alternatifs ** Danemark ** Copenhague ** 1970-....** Récits personnelsIndex. décimale : 320 Politique (généralités) - Théories politiques Résumé : Christiania a été fondée en 1971 au cœur de Copenhague sur une friche militaire de 34 hectares. Héritage du mouvement peace and love, la « ville libre » autoproclamée reste de nos jours un quartier mythique où flotte un drôle de drapeau et un parfum de liberté. Si aujourd’hui l’on ne s’y promène plus nu avec des fleurs dans les cheveux, Christiania demeure un immense squat urbain où près de mille personnes, dont deux cents enfants, expérimentent l’autogestion et la démocratie directe, et où le haschich et le cannabis sont en vente libre.
"Qu’est-ce que Christiania ? Dix-sept Christianites ont ouvert leur porte et accepté de raconter leur quotidien à Laurène Champalle.
Christiania est la plus grande expérience de vie alternative au cœur d’une capitale européenne. Christiania est aussi un espoir : l’espoir qu’un autre mode de vie urbain est possible au XXIe siècle. Christiania est un chantier, une expérience en cours, un lieu unique au monde où rien n’est figé, où tout reste à inventer." (4e de couv.)
"Née dans l’anarchie, la ville libre se dote aussi d’un règlement intérieur : les voitures sont bannies de l’enclave au profit des vélos, les armes à feu au profit de l’amour, les drogues dures au profit du haschich et du cannabis. Christiania est un bien collectif : la propriété privée et la spéculation immobilière sont interdites. Nul ne peut louer ou vendre le logement qu’il occupe, car nul ne possède ni logement ni terrain : le site, librement accessible à tous, appartient à l’État danois.
Au ministère de la Défense, plus précisément. La sélection des nouveaux arrivants par les habitants de l’enclave fait également partie des principes fondamentaux de Christiania, car la communauté a besoin de gens impliqués.
Christiania ne peut fonctionner que si un maximum de personnes joue le jeu, en travaillant au sein de ses collectifs et en participant à ses nombreuses assemblées.
Pur produit du mouvement hippie, Christiania est une société égalitaire sans chef ni hiérarchie. Refusant toute ingérence des autorités dans leurs affaires, les Christianites ont fondé leur propre système politique et social sur le principe de l’autogestion et de la démocratie directe. La vie de la communauté est rythmée par des assemblées quasi quotidiennes tenues aux niveaux des quartiers, Christiania étant divisée en 14 quartiers, et des coopératives. Les assemblées sont les seules instances décisionnelles. L’Assemblée générale, convoquée sur les questions d’intérêt général concernant l’ensemble de la communauté, ou pour les arbitrages de conflits non-résolus aux niveaux inférieurs, est la plus haute autorité au sein de la ville libre. Il n’y a pas de police, ni d’institution de contrainte, ni de vote dans les assemblées de Christiania : après discussion, les décisions sont prises à l’unanimité, quand il semble qu’un consensus a été trouvé.
Près d’un millier de personnes, dont deux cents enfants, vivent aujourd’hui à Christiania. Les Christianites ne paient pas de loyer, mais une cotisation à la Caisse commune, à laquelle il faut ajouter l’eau et l’électricité, la rénovation intérieure et extérieure du logement. Cette cotisation finance, avec la taxe sur les bénéfices des coopératives et des commerces locaux, le « service public » interne de Christiania, assurant le ramassage et le recyclage des ordures, la maintenance des bâtiments, l’entretien du site, le courrier, un jardin d’enfants et une maison des jeunes, un fonds social pour les personnes âgées et les plus modestes, un centre de soins… Ni la Ville, ni l’État ne participent au financement du service public et des infrastructures de Christiania.
Si Christiania s’est construite en alternative à la société, elle n’a pourtant jamais réussi à s’en affranchir. Loin d’être autosuffisante, Christiania dépend largement du monde extérieur : une grande partie des Christianites travaille en dehors de l’enclave. Les autres survivent grâce à l’aide sociale. Les échanges avec l’extérieur sont nombreux, notamment le commerce du haschich et du cannabis : Pusher Street draine chaque jour des centaines de consommateurs.
Après des décennies de social-démocratie et d’un relatif statu quo pour la ville libre, la tolérance à l’égard de Christiania a changé à partir de novembre 2001, à l’arrivée au pouvoir des libéraux-conservateurs, soutenus au Parlement par l’extrême droite. Sous prétexte de rétablir l’ordre dans la zone hors-la-loi, le Premier ministre Anders Fogh Rasmussen, aujourd’hui à la tête de l’OTAN, est parti en croisade contre Christiania, bien déterminé à « normaliser » la ville libre.
« Normaliser », c’est-à-dire liquider le commerce illégal des drogues douces, toléré dans l’enclave du temps des sociaux-démocrates, et raser les constructions sauvages au bord du lac et sur les anciens remparts de la ville, afin de se débarrasser des squatteurs.
Le gouvernement a commencé par démanteler, début 2004, Pusher Street. En vain : le trafic a continué sous le manteau avant de reprendre, à découvert. À l’heure où la pression immobilière fait flamber les loyers de Copenhague, Pusher Street représentait pour l’État le prétexte idéal pour s’attaquer à Christiania et remettre la main sur son précieux terrain de 34 hectares de verdure en plein centre-ville, illégalement occupé depuis 1971. Sans compter que les anciennes casernes taguées de fresques psychédéliques et les cabanes de guingois de la ville libre détonnent dans les quartiers de Christianshavn et de Holmen, fraîchement réhabilités."
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Extraits de Christiana ou les enfants de l'utopie, Éditions Intervalles (septembre 2011)
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 0268210 320 CHA C Livre Bibliothèque IESSID Livres Disponible Citoyenneté, interculturalité, dialogue : guide européen
Titre : Citoyenneté, interculturalité, dialogue : guide européen Type de document : texte imprimé Editeur : Bruxelles [Belgique] : Think Thank Européen pour la solidarité Année de publication : impr. 2009 Importance : 1 vol. (74 p.) Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-930530-02-4 Langues : Français (fre) Catégories : Citoyenneté
Communication interculturelleIndex. décimale : 320 Politique (généralités) - Théories politiques Permalink : http://catalogue.iessid.be/index.php?lvl=notice_display&id=19013 Citoyenneté, interculturalité, dialogue : guide européen [texte imprimé] . - Bruxelles (Rue Coenraets 66, B, 1060, Belgique) : Think Thank Européen pour la solidarité, impr. 2009 . - 1 vol. (74 p.) ; 21 cm.
ISBN : 978-2-930530-02-4
Langues : Français (fre)
Catégories : Citoyenneté
Communication interculturelleIndex. décimale : 320 Politique (généralités) - Théories politiques Permalink : http://catalogue.iessid.be/index.php?lvl=notice_display&id=19013 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 024089X 320 CIT C Livre Bibliothèque IESSID Livres Disponible Citoyennetés ordinaires : pour une approche renouvelée des pratiques citoyennes / Marion Carrel
Titre : Citoyennetés ordinaires : pour une approche renouvelée des pratiques citoyennes Type de document : texte imprimé Auteurs : Marion Carrel, Editeur scientifique ; Catherine Neveu, Editeur scientifique Editeur : Paris [France] : Karthala Année de publication : impr. 2014 Collection : Recherches internationales Importance : 1 vol. (328 p.) Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-8111-1247-9 Prix : 26 EUR Note générale : Notes bibliogr. et webliogr. Langues : Français (fre) Catégories : Citoyenneté ** Aspect soocial
Participation politiqueIndex. décimale : 320 Politique (généralités) - Théories politiques Résumé : Une analyse anthropologique soucieuse des espaces, des lieux, des cadres à travers lesquels les citoyennetés contemporaines se transforment prend en compte les dimensions de l interconnaissance, de l émotion, de l appartenance communautaire ou territoriale, du trouble, du conflit qui pèsent dans l engagement civique effectif. Autant de « signaux faibles de la citoyenneté » qui, bien au-delà de l échelle micro-locale ou de tout biais populiste, nous parlent de l histoire, des représentations et de l imaginaire du vivre ensemble, de l idéal d égalité, de la réalité des discriminations. Un ordinaire de la cité qui échappe à l étude de ses lois, de ses institutions, de ses politiques publiques, mais qui est notre quotidien. Marion Carrel est maîtresse de conférences à l université Lille 3 et Catherine Neveu est directrice de recherche CNRS au TRAM (IIAC, CNRS-EHESS). Ont également contribué à cet ouvrage : Alexandra Bidet, Agnès Deboulet, Rémi Eliçabe, Patrick Gonin, Amandine Guilbert, Anne- Sophie Haeringer, Erwan Le Méner, Gülçin Erdi Lelandais, Françoise Navarre, Laetitia Overney, Maxime Vanhoenacker. Permalink : http://catalogue.iessid.be/index.php?lvl=notice_display&id=20711 Citoyennetés ordinaires : pour une approche renouvelée des pratiques citoyennes [texte imprimé] / Marion Carrel, Editeur scientifique ; Catherine Neveu, Editeur scientifique . - Paris (22-24, boulevard Arago, 75013, France) : Karthala, impr. 2014 . - 1 vol. (328 p.) ; 22 cm. - (Recherches internationales) .
ISBN : 978-2-8111-1247-9 : 26 EUR
Notes bibliogr. et webliogr.
Langues : Français (fre)
Catégories : Citoyenneté ** Aspect soocial
Participation politiqueIndex. décimale : 320 Politique (généralités) - Théories politiques Résumé : Une analyse anthropologique soucieuse des espaces, des lieux, des cadres à travers lesquels les citoyennetés contemporaines se transforment prend en compte les dimensions de l interconnaissance, de l émotion, de l appartenance communautaire ou territoriale, du trouble, du conflit qui pèsent dans l engagement civique effectif. Autant de « signaux faibles de la citoyenneté » qui, bien au-delà de l échelle micro-locale ou de tout biais populiste, nous parlent de l histoire, des représentations et de l imaginaire du vivre ensemble, de l idéal d égalité, de la réalité des discriminations. Un ordinaire de la cité qui échappe à l étude de ses lois, de ses institutions, de ses politiques publiques, mais qui est notre quotidien. Marion Carrel est maîtresse de conférences à l université Lille 3 et Catherine Neveu est directrice de recherche CNRS au TRAM (IIAC, CNRS-EHESS). Ont également contribué à cet ouvrage : Alexandra Bidet, Agnès Deboulet, Rémi Eliçabe, Patrick Gonin, Amandine Guilbert, Anne- Sophie Haeringer, Erwan Le Méner, Gülçin Erdi Lelandais, Françoise Navarre, Laetitia Overney, Maxime Vanhoenacker. Permalink : http://catalogue.iessid.be/index.php?lvl=notice_display&id=20711 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 0263794 320 CAR C Livre Bibliothèque IESSID Livres Disponible Comprendre les politiques sociales / Valérie Löchen
Titre : Comprendre les politiques sociales Type de document : texte imprimé Auteurs : Valérie Löchen, Auteur Mention d'édition : 4e éd. Editeur : Paris [France] : Dunod Année de publication : DL 2013 Collection : Santé social Importance : 1 vol. (437 p.) Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-10-059231-9 Note générale : Notes bibliogr. Langues : Français (fre) Catégories : Action sociale ** France
France ** Politique sociale ** 1995-....Index. décimale : 320 Politique (généralités) - Théories politiques Résumé : "Les politiques sociales constituent un champ complexe de dispositifs et d'actions au profit d'enfants, de familles, de personnes âgées, handicapées..." (4e de couv.) Permalink : http://catalogue.iessid.be/index.php?lvl=notice_display&id=20230 Comprendre les politiques sociales [texte imprimé] / Valérie Löchen, Auteur . - 4e éd. . - Paris (Rue Laromiguière, 5, 75005, France) : Dunod, DL 2013 . - 1 vol. (437 p.) ; 24 cm. - (Santé social) .
ISBN : 978-2-10-059231-9
Notes bibliogr.
Langues : Français (fre)
Catégories : Action sociale ** France
France ** Politique sociale ** 1995-....Index. décimale : 320 Politique (généralités) - Théories politiques Résumé : "Les politiques sociales constituent un champ complexe de dispositifs et d'actions au profit d'enfants, de familles, de personnes âgées, handicapées..." (4e de couv.) Permalink : http://catalogue.iessid.be/index.php?lvl=notice_display&id=20230 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 0257447 304 LOC C Livre Bibliothèque IESSID Livres Disponible Comprendre les politiques sociales / Valérie Löchen
PermalinkContre-feux [1.] : propos pour servir à la résistance contre l'invasion néo-libérale / Pierre Bourdieu
PermalinkContre-feux [2.] / Pierre Bourdieu
PermalinkDémocratie et autoritarisme / Guy Hermet
PermalinkLa démocratie multiculturelle : citoyenenté, diversité, justice sociale / Marco Martiniello
PermalinkDémocratie participative en Europe / Annick Decourt
PermalinkDe l'éminente dignité des pauvres / Jacques-Bénigne (1627-1704) Bossuet
PermalinkLes entités fédérées belges et l'intégration des immigrés / Ilke Adam
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PermalinkLa juste part : repenser les inégalités, la richesse et la fabrication des grille-pains / David Robichaud
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PermalinkMettre en oeuvre les intelligences citoyennes : une méthodologie de Majo Hansotte / Majo Hansotte
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PermalinkLa présidente : vous ne pourrez pas dire que vous ne saviez pas / Farid Boudjellal
PermalinkPrincipes du gouvernement représentatif / Bernard Manin
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