Détail de l'éditeur
Documents disponibles chez cet éditeur
Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche Interroger des sources externes
On ne prête pas qu'aux riches : la révolution du microcredit / Maria Nowak
Titre : On ne prête pas qu'aux riches : la révolution du microcredit Type de document : texte imprimé Auteurs : Maria Nowak Editeur : Paris [France] : Jean-Claude Lattès Année de publication : 2005 Importance : 270 p. Présentation : ill. Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7096-2638-5 Prix : 16 EUR Note générale : Notes bibliogr. Langues : Français (fre) Catégories : Microfinance ** France
Prêts commerciauxRésumé : L'affirmation "on ne prête qu'aux riches" a fait son temps. Le succès du microcredit le prouve. Dans le monde, 60 millions de personnes sont sorties de l'exclusion et de la misère grâce au microcredit. En France, des milliers d'entreprises ont été créées grâce à des prêts qui ne dépassent pas 5000 euros. Quand on prête de l'argent aux exclus du système banquaire, non seulement ceux-ci retrouvent le goûts de l'initiative et la confiance en eux-mêmes, mais ils remboursent mieux que les autres. Prêter aux démunis ne relève plus de la charité publique mais de l'activité financière. Pour y arriver, les militants de la microfinance ont dû briser d'extraordinaires préjugés. Aujourd'hui, cette nouvelle perspective - et sa réussite - permet de sortir du débat sans issue opposant un Etat providence, qui n'est pas en mesure de protéger tout le monde, à la logique brutale du capitalisme. Permalink : http://catalogue.iessid.be/index.php?lvl=notice_display&id=8191 On ne prête pas qu'aux riches : la révolution du microcredit [texte imprimé] / Maria Nowak . - Paris (France) : Jean-Claude Lattès, 2005 . - 270 p. : ill. ; 23 cm.
ISBN : 978-2-7096-2638-5 : 16 EUR
Notes bibliogr.
Langues : Français (fre)
Catégories : Microfinance ** France
Prêts commerciauxRésumé : L'affirmation "on ne prête qu'aux riches" a fait son temps. Le succès du microcredit le prouve. Dans le monde, 60 millions de personnes sont sorties de l'exclusion et de la misère grâce au microcredit. En France, des milliers d'entreprises ont été créées grâce à des prêts qui ne dépassent pas 5000 euros. Quand on prête de l'argent aux exclus du système banquaire, non seulement ceux-ci retrouvent le goûts de l'initiative et la confiance en eux-mêmes, mais ils remboursent mieux que les autres. Prêter aux démunis ne relève plus de la charité publique mais de l'activité financière. Pour y arriver, les militants de la microfinance ont dû briser d'extraordinaires préjugés. Aujourd'hui, cette nouvelle perspective - et sa réussite - permet de sortir du débat sans issue opposant un Etat providence, qui n'est pas en mesure de protéger tout le monde, à la logique brutale du capitalisme. Permalink : http://catalogue.iessid.be/index.php?lvl=notice_display&id=8191 Réservation
Réserver ce document
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 018785X 336 NOW O Livre Bibliothèque IESSID Livres Disponible Je t'en veux, je t'aime : ou comment réparer la relation à ses parents / Isabelle Filliozat
Titre : Je t'en veux, je t'aime : ou comment réparer la relation à ses parents Type de document : texte imprimé Auteurs : Isabelle Filliozat, Auteur Editeur : Paris [France] : Jean-Claude Lattès Année de publication : 2004 Importance : 333 p. Présentation : couv. ill. en coul. Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7096-2254-7 Prix : 19,90 EUR Langues : Français (fre) Catégories : Parents et enfants Résumé : Aucune relation n'est semblable à une autre : il y a ceux et celles qui téléphonent à leur maman tous les jours, et ceux qui ont déménagé le plus loin possible. Chacune est riche et parfois lourde d'une longue histoire. Les enfants aiment leurs parents... Les parents aiment leurs enfants... la plupart du temps. On pourrait penser que ce lien est le plus proche, le plus intime qui soit, mais c'est rarement le cas. Nombre de relations sont douloureuses, tendues, d'autres sont superficielles, rituelles. La plupart des gens se résignent à ce qu'il en soit ainsi, sûrs que rien ne peut changer. Dans cet ouvrage, Isabelle Filliozat propose au lecteur de tenter l'aventure d'une rencontre authentique avec ses parents. Car, sans authenticité, il n'y a pas d'amour possible. Est-ce bien nécessaire de remuer le passé ? Les résistances sont nombreuses : " On ne juge pas ses parents/il faut pardonner... " Pourtant, une réconciliation ne peut faire l'impasse sur l'expression des souffrances. Les blessures doivent être reconnues, les malentendus explicités, la colère a besoin d'être dite et accueillie pour réparer le lien. La réconciliation naît alors de l'empathie mutuelle. Pourquoi se contenter d'une relation superficielle quand on peut - et cela est possible dans la plupart des cas - (re)créer une relation d'intimité et de complicité. Permalink : http://catalogue.iessid.be/index.php?lvl=notice_display&id=6043 Je t'en veux, je t'aime : ou comment réparer la relation à ses parents [texte imprimé] / Isabelle Filliozat, Auteur . - Paris (France) : Jean-Claude Lattès, 2004 . - 333 p. : couv. ill. en coul. ; 23 cm.
ISBN : 978-2-7096-2254-7 : 19,90 EUR
Langues : Français (fre)
Catégories : Parents et enfants Résumé : Aucune relation n'est semblable à une autre : il y a ceux et celles qui téléphonent à leur maman tous les jours, et ceux qui ont déménagé le plus loin possible. Chacune est riche et parfois lourde d'une longue histoire. Les enfants aiment leurs parents... Les parents aiment leurs enfants... la plupart du temps. On pourrait penser que ce lien est le plus proche, le plus intime qui soit, mais c'est rarement le cas. Nombre de relations sont douloureuses, tendues, d'autres sont superficielles, rituelles. La plupart des gens se résignent à ce qu'il en soit ainsi, sûrs que rien ne peut changer. Dans cet ouvrage, Isabelle Filliozat propose au lecteur de tenter l'aventure d'une rencontre authentique avec ses parents. Car, sans authenticité, il n'y a pas d'amour possible. Est-ce bien nécessaire de remuer le passé ? Les résistances sont nombreuses : " On ne juge pas ses parents/il faut pardonner... " Pourtant, une réconciliation ne peut faire l'impasse sur l'expression des souffrances. Les blessures doivent être reconnues, les malentendus explicités, la colère a besoin d'être dite et accueillie pour réparer le lien. La réconciliation naît alors de l'empathie mutuelle. Pourquoi se contenter d'une relation superficielle quand on peut - et cela est possible dans la plupart des cas - (re)créer une relation d'intimité et de complicité. Permalink : http://catalogue.iessid.be/index.php?lvl=notice_display&id=6043 Réservation
Réserver ce document
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 018142X 159CP FIL J Livre Bibliothèque IESSID Livres Disponible Un jihad de l'amour : l'appel bouleversant d'un musulman à la réconciliation / Mohamed El Bachiri
Titre : Un jihad de l'amour : l'appel bouleversant d'un musulman à la réconciliation Type de document : texte imprimé Auteurs : Mohamed El Bachiri, Auteur Editeur : Paris [France] : Jean-Claude Lattès Année de publication : Impr. 2017 Importance : 1 vol. (115 p.) Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7096-6083-9 Prix : 9 EUR Langues : Français (fre) Index. décimale : 200 Religions et croyances Résumé : « Je suis Mohamed El Bachiri, belgo-marocain, musulman et molenbeekois. Avec ce prénom, ces convictions religieuses et la triste réputation de la commune dans laquelle je vis, je suis considéré par une partie de la population et du monde comme un terroriste potentiel et cela m'affecte beaucoup. Je suis également l'époux de Loubna Lafquiri, l'amour de ma vie, la mère de mes trois enfants, décédée lors des attentats de Bruxelles le 22 mars 2016. » M. El BachiriAvec son magnifique témoignage diffusé en décembre 2016 sur une chaîne flamande, Mohamed El Bachiri a touché des milliers de téléspectateurs. Il lance un appel pour un « jihad d'amour », où le mot jihad reprend son sens premier, « une lutte », et où l'Islam retrouve ses origines premières, de paix, de fraternité, de culture…Mohamed El Bachiri transforme son chagrin en un appel à la paix entre Chrétiens, Juifs, Musulmans et Athées. On peut tous se comprendre si on communique, explique-t-il. « Je peux facilement imaginer ce que cela doit être pour un Palestinien ou un Israélien. »Mohamed a quitté l'école sans diplôme mais a étudié l'histoire et les religions. Il est musulman mais considère qu'on ne devrait pas suivre littéralement les textes du viie siècle. Dans une société moderne, les femmes ne devraient pas être obligées de porter un foulard, les hommes ne devraient avoir qu'une seule femme. On lui crie de temps à autre « sale musulman », mais lui préfère répondre « ne me demandez pas de haïr, je préférerais mourir ! » Traduit du néerlandais par Philippe Noble (site de l'éditeur) Permalink : http://catalogue.iessid.be/index.php?lvl=notice_display&id=22076 Un jihad de l'amour : l'appel bouleversant d'un musulman à la réconciliation [texte imprimé] / Mohamed El Bachiri, Auteur . - Paris (France) : Jean-Claude Lattès, Impr. 2017 . - 1 vol. (115 p.) : ill., couv. ill. en coul. ; 19 cm.
ISBN : 978-2-7096-6083-9 : 9 EUR
Langues : Français (fre)
Index. décimale : 200 Religions et croyances Résumé : « Je suis Mohamed El Bachiri, belgo-marocain, musulman et molenbeekois. Avec ce prénom, ces convictions religieuses et la triste réputation de la commune dans laquelle je vis, je suis considéré par une partie de la population et du monde comme un terroriste potentiel et cela m'affecte beaucoup. Je suis également l'époux de Loubna Lafquiri, l'amour de ma vie, la mère de mes trois enfants, décédée lors des attentats de Bruxelles le 22 mars 2016. » M. El BachiriAvec son magnifique témoignage diffusé en décembre 2016 sur une chaîne flamande, Mohamed El Bachiri a touché des milliers de téléspectateurs. Il lance un appel pour un « jihad d'amour », où le mot jihad reprend son sens premier, « une lutte », et où l'Islam retrouve ses origines premières, de paix, de fraternité, de culture…Mohamed El Bachiri transforme son chagrin en un appel à la paix entre Chrétiens, Juifs, Musulmans et Athées. On peut tous se comprendre si on communique, explique-t-il. « Je peux facilement imaginer ce que cela doit être pour un Palestinien ou un Israélien. »Mohamed a quitté l'école sans diplôme mais a étudié l'histoire et les religions. Il est musulman mais considère qu'on ne devrait pas suivre littéralement les textes du viie siècle. Dans une société moderne, les femmes ne devraient pas être obligées de porter un foulard, les hommes ne devraient avoir qu'une seule femme. On lui crie de temps à autre « sale musulman », mais lui préfère répondre « ne me demandez pas de haïr, je préférerais mourir ! » Traduit du néerlandais par Philippe Noble (site de l'éditeur) Permalink : http://catalogue.iessid.be/index.php?lvl=notice_display&id=22076 Réservation
Réserver ce document
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 0280667 200 ELB U Livre Bibliothèque IESSID Livres Disponible